Branle-bas de combat pour l’accueil des femmes des joueurs de l’équipe de France au Brésil ! Après leur petit caprice, qui a amené la FFF à les changer d’hôtel, les femmes des joueurs de l’équipe tricolore ont exigé, pour leur repas de midi (heure brésilienne), qu’on leur cuisine un véritable salmis de palombes, sauce au Madiran.
Caprice de stars ? Goût pour la bonne chère ? Toujours est-il que les exigences culinaires des femmes de nos Bleus ne passent pas inaperçues.
Si leur première exigence s’est vue satisfaite rapidement par le déménagement dans un hôtel 5 étoiles de Copacabana, la seconde est, en revanche, plus problématique : en effet, la palombe, Columba palumbus pour les intimes, est inexistante dans toute l’Amérique. Un Airbus A380 a donc été spécialement affrété depuis l’aéroport de Bordeaux Mérignac, pour faire parvenir, le plus rapidement possible, le mets délicat à nos délicieuses ambassadrices.
Le président de la Fédération Française de Football, Noël Le Graët, a confirmé les faits à notre envoyé spécial, et s’est félicité « de voir ainsi promue, à travers le monde et au cœur de l’un des événements les plus médiatiques de la planète, la culture de raffinement et de bien-vivre à la française ».
Par notre envoyé spécial, Jean-François Maluchon.
elles auraient demandé de la pintade flambée ç’était beaucoup plus facile pour elles ; elles étaient sur place!!!
moi je pense que leurs époux de footballeurs auraient préféré un bon plat de morue ! bien salée!! mais bon allons-y pour les palombes plombés au 12 et pour le madiran
Des femmes qui ne respectent rien!!!!Elles n’ont que le statut de femme de….Elles se prennent pour qui???? Redescendez sur terre mesdames,vous n’êtes que des femmes lambda!!!!! En plus c’est aux frais de la Fédération Française de Football!!!!!!Belle mentalité!!!
j’aurais honte à leur place !!!!!
Faute de goût ! Si ces dames avaient la moindre culture de la cuisine du Sud-ou-Est elles auraient demandé une sauce au Vin de Bellocq. En effet, tout le monde sait que le vin de Bellocq (64) est le plus adapté au délicat fumet de la palombe. A celui de la bécasse aussi.
Merci, GrandCagnotte, pour votre remarque avisée, que Sud-ou-Est est heureux de partager avec ses lecteurs.
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