Incroyable confusion au Vatican : le Président François prend la place du Pape, et vice-versa

Les services secrets de la République Française et de l’Etat Pontifical du Vatican sont sur les dents depuis ce matin, suite à un inextricable imbroglio, survenu après la rencontre au sommet entre le Président François Hollande et le Pape François.

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Rencontre agitée entre un Pape et un Président facétieux

Il semblerait que les deux chefs d’Etat, connus pour leur bonhomie mais aussi pour leur goût pour la bonne chère, aient un peu abusé du vin de messe favori du Pape François (l’excellent petit Muscadet du Père Boissard, NDLR) : le magazine Closer prétend même qu’ils en auraient consommé 5 bouteilles durant leur entretien en tête-à-tête. Un peu pompettes, ou carrément “ronds comme des queues de pelle” pour reprendre l’expression du Préfet de la Congrégation du Culte divin et de la Discipline des Sacrements, le Pape et le Président se seraient alors livrés à une de ces facéties dont ils ont le secret.

” Riant aux éclats, le Président François a tout d’un coup endossé l’habit pontifical !”, nous raconte un garde du corps présidentiel, qui a asisté, désabusé, à la scène. “Le Pape, quant à lui, a revêtu le costume-cravate bleu marine du Président de la République”. La plaisanterie aurait pu s’arrêter là, mais il semble que, grisés par le Muscadet et par la foule de journalistes, notamment du beau sexe, présents, nos compères aient voulu prolonger la boutade plus que de raison : “Ça s’est passé vers 10h, et depuis, le Président François soutient mordicus qu’il est le Pape et veut faire le tour de Rome en Papamobile ! Pareil pour le souverain Pontife, il veut qu’on le ramène en France dans le Falcon 2000 de la Présidence !” relate, excédé, le sous-secrétaire aux Relations avec les Etats étrangers du Vatican, Cristoforo Dominici.

Les services secrets ne savent plus où donner de la tête, d’autant plus que les deux chefs d’Etat, semant leurs gardes rapprochées, se seraient cachés dans un recoin de la bibliothèque apostolique vaticane, en emportant avec eux quelques bouteilles de Muscadet supplémentaires. In vino veritas ? Vinum aqua miscere ? La suite nous démontrera lequel de ces deux adages triomphera, pour clore l’un des épisodes les plus improbables de la longue et houleuse histoire des relations diplomatiques franco-vaticanaises.

 

Par notre correspondant au Vatican, Alphonse de La Michardière

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